helene petit

Vous retrouverez dans cet espace mes billets d’humeur, coups de coeur et des informations concernant mes futures publications, mes virées, voyages et autres… Un petit carnet de note que je  souhaite partager avec vous !

Pour 2015, je vous présente trois de mes publications : la réédition d’un livre sur le Mal au dos ; un document de synthèse du colloque Effervescence 2014 « Environnement et résidus de médicament. Enjeux présents et futurs : quelles réponses » ; un reportage sur le Chaland romain d’Arles publié en août dans la revue Chasse marée.

Pour 2016, je suis en recherche d’emploi, nouvelles collaborations et commandes. Mais malgré cette situation difficile, je vous parle de mes quelques activités professionnelles et associatives en cours.

Bonne lecture !

2016

Une année qui commence dans la morosité professionnelle ! Plusieurs des magazines pour lesquels je travaille rencontrent de grosses difficultés et hormis quelques missions ponctuelles, notamment la rédaction d’un livre pour les éditions Alpen, c’est un peu le parcours du combattant.

• Je suis à la recherche d’un contrat à temps partiel dans la communication et la valorisation scientifique ou dans la formation, contrat qui me permettrait de continuer mes collaborations en cours. Ambitieux ! non je ne crois pas….

 

• Un projet me tient particulièrement à coeur : former les scientifiques (chercheurs, étudiants,…) à la vulgarisation scientifique (synthèses, affiches, conférences et débats grand public,…). Ma première expérience de formatrice dans ce domaine s’est faite en 2015 avec des étudiantes en Master 2 « Ingéniérie de la Santé ». A partir de communications enregistrées lors du colloque Effervescence 2014 (Environnement et résidus de médicaments. Enjeux présents et futurs : quelles réponses ?), je les ai faites travailler sur la rédaction de synthèses et la réalisation d’affiches pour un public averti mais non spécialiste (Retours d’expérience). J’aimerais développer ce type de formation mais je n’ai pas encore trouvé comment en faire la promotion. 

 

• Je me consacre aux vitamines B pour un livre grand public, des vitamines dont on parle peu mais qui méritent toute notre attention.

Photos

Un tour en Camargue gardoise non loin d’Aigues-Mortes pour observer les grues cendrées qui y ont installé leur quartier d’hiver.

Et des activités associatives !

• Au Club de la presse de Montpellier dans le cadre de la Commission Femmes et médias, nous travaillons activement depuis un peu plus d’un an sur le Guide des expertes du Languedoc-Roussillon. L’objectif de ce guide est d’augmenter sur les plateaux télé, au micro des radios et dans les colonnes des journaux la visibilité des femmes, qui ont une expertise dans l’un des vingt domaines retenus, de précédentes études ayant montré qu’elles n’étaient que 20% à être sollicitées contre 80% d’hommes. La commission Femmes et médias souhaite faire émerger les femmes sous-représentées alors qu’elles ont des compétences reconnues. Dans le cadre de ce travail, je m’occupe de plusieurs domaines d’expertise : sciences, médecine et santé, environnement, énergie et géologie, sports et enfin le domaine regroupant pêche, aquaculture, cultures marines, nautisme, aquarium. Le lancement de ce guide soutenu par des fonds européens sera l’occasion le 20 mai prochain d’une grande soirée organisée par le Club et animée par la journaliste Audrey Pulvar.
• Depuis les attentats à Charlie Hebdo, le Club agit pour monter des projets d’actions de sensibilisation à la citoyenneté et aux médias, auprès des jeunes et des familles, pour prévenir la radicalisation. Alors que j’avais rencontré des jeunes du lycée professionnel Jules Ferry – La Colline de Montpellier en février 2015, cette année, je vais participer à un projet de plus grande ampleur que le Club met en place en Pays de Lunel. Cette population a été touchée de près par la radicalisation de certains de ses jeunes. Le Pays de Lunel en est même devenu un laboratoire d’observation au niveau national, voire international.

 

• Au Club alpin français de Montpellier où j’ai été élue au comité directeur qui m’a confié la responsabilité de la Commission communication du club (responsable de la photothèque, rédaction de la lettre d’information, Carte de voeux, organisation de conférences, magazine Lo Trepaïre,…).
• Autre projet en cours : la réalisation d’un film avec Roger Pierre-Auguste sur l’histoire du Club alpin français de Montpellier, un club qui a fêté ses 135 ans en 2014 !

 

Et des randos depuis le 1er janvier !

2015

Parlons livre ! En 2005, j’ai rédigé « Le Mal au dos, c’est fini » réédité cette année après avoir été mis à jour et relu dans son intégralité par le Dr Isabelle Tavares, école du mouvement, hôpital Lapeyronie du CHRU de Montpellier. Prenez en main la santé de votre dos : tour de rein, lombalgie, sciatique… le mal au dos vous gâche la vie ? Ce livre a été écrit pour vous ! J’y expose nombre de solutions qui existent et fonctionnent. A vous de choisir celle qui vous conviendra le mieux. A quoi est due une hernie ? Que faire si son enfant présente une scoliose ? Quelles plantes soulagent la douleur et préviennent les récidives ? Quel sport pratiquer lorsqu’on est fragile du dos ? Autant de questions, et bien d’autres auxquelles j’essaye de répondre avec la complicité des spécialistes du dos et des thérapies alternatives que j’ai interrogés pour vous.

 

Alors que j’ai été missionnée en 2014 pour la gestion de l’organisation du colloque  Effervescence 2014 « Environnement et résidus de médicaments. Enjeux présents et futurs : quelles réponses ? » organisé en partenariat par Hydrosciences de l’Université Montpellier, Sanofi et Véolia recherche & innovation, j’ai travaillé à sa valorisation ce qui a abouti à la mise en ligne des résultats de la conférence sur le site du Pôle de compétitivité Eau du Languedoc-Roussillon et à la réalisation d’un document « Synthèse du colloque Effervescence 2014 » téléchargeable en ligne.

 

 

 

 

En août 2015, le Chasse-marée a publié un reportage de 11 pages sur le Chaland d’Arles que j’ai réalisé entre 2011 et 2013. L’épave de 31 mètres de longueur engluée dans les limons du fleuve suivait une pente d’environ 30 degrés, sa proue se situant à 4 mètres de profondeur et sa poupe à 9 mètres. La plus grande partie du chaland était dissimulée sous une couche de sédiments composée de sable, d’argile et d’un enchevêtrement d’amphores, de céramiques et de tessons de poteries diverses. L’épaisseur de ces sédiments était de plus de deux mètres au niveau de la poupe. Pendant presque quatre ans, des scientifiques et des spécialistes en tout genre se sont employés à relever cette épave datant du milieu du 1er siècle après Jésus-Christ, puis à la restaurer. Classé Trésor national, Arles-Rhône 3 est aujourd’hui exposé au musée départemental Arles antique.

Le Chaland d’Arles, Chasse-marée n° 270, août 2015, p. 36-45.